Dieu convoque G. W. Bush, V. Poutine et J. Chirac et leur dit :
" J'en ai marre, vous avez foutu le bordel sur toute la planète :
la guerre au Liban, en Irak, en Afghanistan, en Tchétchénie, au Soudan.
Ça suffit maintenant, vous êtes des incapables, ça ne peut pas durer comme ça.
Je décrète que dans deux mois ce sera la fin du monde. "
G. W. Bush retourne à Washington, convoque le Congrès et déclare :
" J'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise :
la bonne, c'est que j'ai rencontré Dieu, il existe bien comme on l'a toujours pensé ;
la mauvaise, c'est que dans deux mois c'est la fin du monde. "
V. Poutine rentre à Moscou, convoque son gouvernement et déclare :
" J'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise :
la bonne, c'est que contrairement à ce que l'on a voulu nous faire croire pendant longtemps, Dieu existe (je l'ai rencontré) ;
et la mauvaise, c'est que ce sera la fin du monde dans deux mois. "
Chirac, de retour à Paris, convoque les télévisons et déclare :
" J'ai deux bonnes nouvelles :
la première c'est que la France est bien un grand pays comme nous le pensions tous,
Dieu m'a convoqué avec Bush et Poutine et j'étais le seul chef d'état européen à participer à cette réunion ;
la seconde c'est que Sarkozy ne sera jamais président de la république. "
" J'en ai marre, vous avez foutu le bordel sur toute la planète :
la guerre au Liban, en Irak, en Afghanistan, en Tchétchénie, au Soudan.
Ça suffit maintenant, vous êtes des incapables, ça ne peut pas durer comme ça.
Je décrète que dans deux mois ce sera la fin du monde. "
G. W. Bush retourne à Washington, convoque le Congrès et déclare :
" J'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise :
la bonne, c'est que j'ai rencontré Dieu, il existe bien comme on l'a toujours pensé ;
la mauvaise, c'est que dans deux mois c'est la fin du monde. "
V. Poutine rentre à Moscou, convoque son gouvernement et déclare :
" J'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise :
la bonne, c'est que contrairement à ce que l'on a voulu nous faire croire pendant longtemps, Dieu existe (je l'ai rencontré) ;
et la mauvaise, c'est que ce sera la fin du monde dans deux mois. "
Chirac, de retour à Paris, convoque les télévisons et déclare :
" J'ai deux bonnes nouvelles :
la première c'est que la France est bien un grand pays comme nous le pensions tous,
Dieu m'a convoqué avec Bush et Poutine et j'étais le seul chef d'état européen à participer à cette réunion ;
la seconde c'est que Sarkozy ne sera jamais président de la république. "