"Alors, y dort le gros con ? Ben y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges, le gugus de Montauban ; j'vais l'renvoyer tout droit à la maison mère, au terminus des prétentieux... "
"Bougez-pas ! Les mains sur la table. J'vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur et des flingues de concours. "
Raoul Volfoni : "Tu sais pas ce qu'il me rappelle ? C't'espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite taule de bien ho har, pas tellement loin de Saigon. Les volets rouges et la taulière, une blonde komac. Comment qu'elle s'appelait non de dieu ?
Monsieur Fernand : Lulu la nantaise.
Raoul Volfoni : T'as connu ?
Paul Volfoni : J'lui trouve un goût de pomme.
Maître Folace : Y'en a.
Raoul Volfoni : Et bien c'est devant chez elle que Lucien le cheval s'est fait dessoudé.
Monsieur Fernand : Et par qui ? Hein
?
Raoul Volfoni : Ben v'la que j'ai pu ma tête.
Monsieur Fernand : Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'à la dynamite.
Raoul Volfoni Toute une époque ! "
et oui, il suffit parfois d'un 'tit verre....
ça ne te rappelle rien ???
"Bougez-pas ! Les mains sur la table. J'vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur et des flingues de concours. "
Raoul Volfoni : "Tu sais pas ce qu'il me rappelle ? C't'espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite taule de bien ho har, pas tellement loin de Saigon. Les volets rouges et la taulière, une blonde komac. Comment qu'elle s'appelait non de dieu ?
Monsieur Fernand : Lulu la nantaise.
Raoul Volfoni : T'as connu ?
Paul Volfoni : J'lui trouve un goût de pomme.
Maître Folace : Y'en a.
Raoul Volfoni : Et bien c'est devant chez elle que Lucien le cheval s'est fait dessoudé.
Monsieur Fernand : Et par qui ? Hein
?
Raoul Volfoni : Ben v'la que j'ai pu ma tête.
Monsieur Fernand : Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'à la dynamite.
Raoul Volfoni Toute une époque ! "
et oui, il suffit parfois d'un 'tit verre....
ça ne te rappelle rien ???