Après une semaine folle de congrès, il nous fallait nous ventiler les cheveux.
Décision prise, nous irons faire un p'tit tour de lacets.
Fred nous rejoint donc ce Jeudi matin alors que je suis en train de remonter mon circuit de frein avant (il y avait fuite)
Nous partons donc en fin de matinée en direction de Nice sortie de l'A8, nous entamons notre ascension vers les Hautes Alpes.
Très vite, la plaine du Var et sa zone industrielle disparaissent au profit d'un paysage plus sympathique et plus enclin à me ragaillardir le neurone.
La Condamine, Roussillon, Saint Sauveur sur Tinée et stop-lunch à Saint Etienne de Tinée.
Une fois bine sustentés, nos repartons vers notre grande aventure, les choses commencent à se compliquer, une bruine se met à tomber et le ciel est de plus en plus chargé. Nous enfilons donc nos tenues de cosmonautes.
Nous ignorons royalement de passage du col qui culmine à 2715m en continuons l'ascension vers le col du sommet de la Bonnette : 2802m. C'est géant !!!!
La vue est superbe, il tombe de la neige, ça caille, on se pèle les miches, on se casse !!!!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Col_de_la_Bonette
Nous entamons le descente vers Jausier et bifurquons vers la droite pour nous diriger vers l'Italie.
C'est en franchissant le col de Larche que nous pénétrons en Italie et redescendons tranquillement vers la vallée pour chercher une auberge dans la banlieue de Cuneo.
La ville de a une architecture particulière, très géométrique mais notre intérêt se limitera à la recherche d'une bonne table et d'un bon lit.
http://www.touristie.com/italie/Cuneo-region-567
Réveil 9h, j'attendais cette nuit de sommeil depuis longtemps, la télé du voisin allumée toute la nuit ne m'a pas empêché d'écraser les heures alors qu'Agnès veillait.
Motos chargées, nous repartons en direction de la France, via le col de Tende et traversons via l'étroit et dangereux tunnel. C'est le plus ancien tunnel d'Europe, il fait plus de 3km de long et a été ouvert en 1882
La descente vers Tende est sublime, toute en lacets. Nous nous délectons jusqu'au village pour stopper à la terrasse d'un café. Il est temps de retirer nos vêtements de pluie, la France est sous le soleil.
Petite visite de Tende puis nous repartons en suivant la vallée de la Roya vers Saorge
La carte Michelin signale en Rouge : "traversée impossible"
Faut aller voir ça de plus près…. Là, nous découvrons un joli petit village, cramponné à la montagne. Une route arrive à chaque extrémité mais il n'y a pas moyen de traverser par les ruelles escarpées.
Nous quittons la vallée de la Roya à Breil et montons par la D2204 le col de Brouis, puis le col du Pérus pour arriver à Sospel et nous restaurer à la terrasse d'une pizzeria.
La dernière étape qui nous conduit à la maison nous mène par le col Saint Jean puis le col de Braus et sa fabuleuse descente (attention au vertige)
Et enfin l'A8 qui nous conduit à nos pénates respectives.
La carte :
Afficher Run de La Bonnette sur une carte plus grande
Les images
Décision prise, nous irons faire un p'tit tour de lacets.
Fred nous rejoint donc ce Jeudi matin alors que je suis en train de remonter mon circuit de frein avant (il y avait fuite)
Nous partons donc en fin de matinée en direction de Nice sortie de l'A8, nous entamons notre ascension vers les Hautes Alpes.
Très vite, la plaine du Var et sa zone industrielle disparaissent au profit d'un paysage plus sympathique et plus enclin à me ragaillardir le neurone.
La Condamine, Roussillon, Saint Sauveur sur Tinée et stop-lunch à Saint Etienne de Tinée.
Une fois bine sustentés, nos repartons vers notre grande aventure, les choses commencent à se compliquer, une bruine se met à tomber et le ciel est de plus en plus chargé. Nous enfilons donc nos tenues de cosmonautes.
Nous ignorons royalement de passage du col qui culmine à 2715m en continuons l'ascension vers le col du sommet de la Bonnette : 2802m. C'est géant !!!!
La vue est superbe, il tombe de la neige, ça caille, on se pèle les miches, on se casse !!!!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Col_de_la_Bonette
Nous entamons le descente vers Jausier et bifurquons vers la droite pour nous diriger vers l'Italie.
C'est en franchissant le col de Larche que nous pénétrons en Italie et redescendons tranquillement vers la vallée pour chercher une auberge dans la banlieue de Cuneo.
La ville de a une architecture particulière, très géométrique mais notre intérêt se limitera à la recherche d'une bonne table et d'un bon lit.
http://www.touristie.com/italie/Cuneo-region-567
Réveil 9h, j'attendais cette nuit de sommeil depuis longtemps, la télé du voisin allumée toute la nuit ne m'a pas empêché d'écraser les heures alors qu'Agnès veillait.
Motos chargées, nous repartons en direction de la France, via le col de Tende et traversons via l'étroit et dangereux tunnel. C'est le plus ancien tunnel d'Europe, il fait plus de 3km de long et a été ouvert en 1882
La descente vers Tende est sublime, toute en lacets. Nous nous délectons jusqu'au village pour stopper à la terrasse d'un café. Il est temps de retirer nos vêtements de pluie, la France est sous le soleil.
Petite visite de Tende puis nous repartons en suivant la vallée de la Roya vers Saorge
La carte Michelin signale en Rouge : "traversée impossible"
Faut aller voir ça de plus près…. Là, nous découvrons un joli petit village, cramponné à la montagne. Une route arrive à chaque extrémité mais il n'y a pas moyen de traverser par les ruelles escarpées.
Nous quittons la vallée de la Roya à Breil et montons par la D2204 le col de Brouis, puis le col du Pérus pour arriver à Sospel et nous restaurer à la terrasse d'une pizzeria.
La dernière étape qui nous conduit à la maison nous mène par le col Saint Jean puis le col de Braus et sa fabuleuse descente (attention au vertige)
Et enfin l'A8 qui nous conduit à nos pénates respectives.
La carte :
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Les images