Après 44400 km de bon et loyaux service, j'ai enfin décidé de changer mes dunlop originels.
Le choix s'est porté sur des Avon Venom.
Si le démontage de la roue avant c'est passé conformément à la notice technique, il n'en fut pas d emême pour la roue arrière.
4,5 ans sans démontage de l'axe, ce n'est pas bien.
La notice dit qu'il faut taper gentiment avec un maillet sur l'axe.
Cela étant inopérant, j'ai tout remonté et suis allé voir mon gris.
La moto sur le pont à 14:00.
A 14:20 après de nombreux coups de masse, l'axe se décide à crier grâce.
Il est un juste corrodé superficiellement. Mais les jeux avec les entretoises étant minimes, cela a suffit à bloquer l'ensemble.
Après brossage, ponçage, enlèvement de la rouille du fond de jante, passage de l'antirouille, séchage, remontage de la chambre, du pneu, équilibrage, remontage, dévoilage léger de la jante, le 12R est redescendu du pont à 18:00, avec des roulements tout neufs.
En effet ces deux pièces ne sont pas du tout prévuspour supporter des efforts latéraux. Donc taper dessus ne leur a pas fait de bien. Pourtant extérieurment, ils ne sont pas pire qu'avant la séance de torture. Mais qu'en serait-il en fonctionnement? Donc remplacment préventif.
Tout cela pour arriver à la conclusion que sur une machine neuve de l'Amoco, il est indispensable de déposer les axes de roues pour les graisser afin d'éviter cette mésaventure. (La factory ne les graisse pas).
Pour finir, je doute que la boutique de changement de pneu pour 20 € du coin de la rue m'aurait fait un travail aussi rigoureux. Et m'aurait prévenu du risque encouru par les roulements.
Le choix s'est porté sur des Avon Venom.
Si le démontage de la roue avant c'est passé conformément à la notice technique, il n'en fut pas d emême pour la roue arrière.
4,5 ans sans démontage de l'axe, ce n'est pas bien.
La notice dit qu'il faut taper gentiment avec un maillet sur l'axe.
Cela étant inopérant, j'ai tout remonté et suis allé voir mon gris.
La moto sur le pont à 14:00.
A 14:20 après de nombreux coups de masse, l'axe se décide à crier grâce.
Il est un juste corrodé superficiellement. Mais les jeux avec les entretoises étant minimes, cela a suffit à bloquer l'ensemble.
Après brossage, ponçage, enlèvement de la rouille du fond de jante, passage de l'antirouille, séchage, remontage de la chambre, du pneu, équilibrage, remontage, dévoilage léger de la jante, le 12R est redescendu du pont à 18:00, avec des roulements tout neufs.
En effet ces deux pièces ne sont pas du tout prévuspour supporter des efforts latéraux. Donc taper dessus ne leur a pas fait de bien. Pourtant extérieurment, ils ne sont pas pire qu'avant la séance de torture. Mais qu'en serait-il en fonctionnement? Donc remplacment préventif.
Tout cela pour arriver à la conclusion que sur une machine neuve de l'Amoco, il est indispensable de déposer les axes de roues pour les graisser afin d'éviter cette mésaventure. (La factory ne les graisse pas).
Pour finir, je doute que la boutique de changement de pneu pour 20 € du coin de la rue m'aurait fait un travail aussi rigoureux. Et m'aurait prévenu du risque encouru par les roulements.