Allez, voici l'histoire de RnRmachine, qui partit se balader au coeur du Pays Basque espagnol avec sa chérie Marielle et son ami Bernard.
Une bien belle virée, un peu musclée, et... au détour du 10 000ème virage, après près de 400 bornes, paf ! Une plaque de graviers (d'abord cru que c'était de l'huile), peur que Marielle se mette au tas, je me retourne une fois, deux fois et là, devant moi, à 50cm, un rail. Le c... ! Le virage se refermait. Coup de frein, sur les gravier, l'avant se dérobe, file sous le rail avec la moto qui s'arrête, bloquée par les sacoches et ma pomme, au bord du ravin.
Grosse colère, quelques douleurs, peur que les autres me suivent, mais non : ils s'arrêtent un peu plus loin.
Après 2 heures d'efforts, de tentative de démontage de rail, aidés de 6 Basques, soigné dans l'ambulancia par une gentille infirmière attentionnée et ses assistants tombés amoureux de ma moto, veillés discrètement et gentiment par la guardia locale, je récupère mon bien le plus cher et sors ma brosse à dents verte ( tu la connais, Didboum !) et les glingues qui vont avec pour continuer la route, malgré les douleurs.
Un grand merci aux Basques qui nous ont aidé !
Bilan au premier coup d'oeil sur la machine : un sélecteur en vrac, un levier d'embrayage rayé, un poignée esquintée, un carter primaire marqué par les graviers, un rétro foutu, un réservoir bougné. Ouf ! (après examen plus approfondi, il faudra ajouter le guidon légèrement tordu)
Bilan au premières douleurs sur le type : une possible entorse de la cheville, un bel hématome au mollet, quelques bleus et les boules de m'être mis au tas comme ça.
Le lendemain, après un nuit d'inquiétude quant à mes capacités à reprendre le guidon, on a pris ... l'itinéraire prévu !
Des virages, encore des virages, et toujours des virages avec une pause chez Kaz, toujours aussi cool.
http://picasaweb.google.fr/RnRMachine/VoyageAuPaysBasque?authkey=Gv1sRgCMz15cL6_6G9tgE
Une bien belle virée, un peu musclée, et... au détour du 10 000ème virage, après près de 400 bornes, paf ! Une plaque de graviers (d'abord cru que c'était de l'huile), peur que Marielle se mette au tas, je me retourne une fois, deux fois et là, devant moi, à 50cm, un rail. Le c... ! Le virage se refermait. Coup de frein, sur les gravier, l'avant se dérobe, file sous le rail avec la moto qui s'arrête, bloquée par les sacoches et ma pomme, au bord du ravin.
Grosse colère, quelques douleurs, peur que les autres me suivent, mais non : ils s'arrêtent un peu plus loin.
Après 2 heures d'efforts, de tentative de démontage de rail, aidés de 6 Basques, soigné dans l'ambulancia par une gentille infirmière attentionnée et ses assistants tombés amoureux de ma moto, veillés discrètement et gentiment par la guardia locale, je récupère mon bien le plus cher et sors ma brosse à dents verte ( tu la connais, Didboum !) et les glingues qui vont avec pour continuer la route, malgré les douleurs.
Un grand merci aux Basques qui nous ont aidé !
Bilan au premier coup d'oeil sur la machine : un sélecteur en vrac, un levier d'embrayage rayé, un poignée esquintée, un carter primaire marqué par les graviers, un rétro foutu, un réservoir bougné. Ouf ! (après examen plus approfondi, il faudra ajouter le guidon légèrement tordu)
Bilan au premières douleurs sur le type : une possible entorse de la cheville, un bel hématome au mollet, quelques bleus et les boules de m'être mis au tas comme ça.
Le lendemain, après un nuit d'inquiétude quant à mes capacités à reprendre le guidon, on a pris ... l'itinéraire prévu !
Des virages, encore des virages, et toujours des virages avec une pause chez Kaz, toujours aussi cool.
http://picasaweb.google.fr/RnRMachine/VoyageAuPaysBasque?authkey=Gv1sRgCMz15cL6_6G9tgE