Jeune, Steve Mc Queen est le type parfait du voyou
Blouson noir, menus larçins. Il habite souvent dans les postes de police.
Tabassé par le beau-père. Maison de redressement.
S’engage dans le Marines d’où on le fout dehors pour indisciplines répétées.
Bref. Ca commence pas très bien pour Mc Queen.
C’est la moto qui le sauve. Il est passioné. Fanatique.
Il fait des courses off-roads et gagne sa vie comme ça.
Il se débrouille même très bien puisqu'il fait partie de l'équipe des USA
pour le championats du monde off-road en DDR
Avec l'argent qu'il gagne il peut s'acheter sa première moto: une Harley.
mais il n'aime pas. La moto pour lui, c'est Triumph et Indian.
Un jour à tout hasard il se présente au concours d'entrée dans une école de théatre.
Il y a 2000 candidats et on en prend deux. Il en fait partie.
Pas si mauvais acteur que ca sans doute...
La grande Escapade. C'est ce film qui le lance. Il y fait de la moto comme un fou.
Même les cascadeurs ne savent pas faire ce qu'il fait.
Moto et cinéma. Il continue les deux à fond.
Quand l'assurance du cinéma lui interdit de faire des courses, il en fait sous un faux-nom.
Incroyable mais vrai, il conduit aussi des voitures de course.
Il termine second au 12 Heures de Sebring en 1970, battu de justesse par Mario Andretti, champion du monde en F1.
Avec cette Porsche. Son coéquipier, Revson, lui aussi pilote de F1, se tuera en course quelques années plus tard.
Mais Mac Queen n'est pas seulement Bullit. Le vrai Mac Queen est celui des runs dans le désert.
ou bien des balades et nuits étoilées avec son chopper Indian.
Steve Mc Queen, possédait un collection de 100 motos anciennes qui ont été vendues au enchères ils y a quelques années.
En voici quelques unes .
À 50 ans un cancer est venu le prendre par la main et à répandu ses cendres dans le Pacifique.
Mais Steve Mc Queen restera comme un vrai de vrai. Un vrai Biker. Pas celui des chromes et des rassemblements frimeurs.
Mais celui qui sent l'huile, la boue et le cuir brûlé contre le carter.
Motard pur sucre. Admirable. Mais pas harley pour un sou. Désolé.
Blouson noir, menus larçins. Il habite souvent dans les postes de police.
Tabassé par le beau-père. Maison de redressement.
S’engage dans le Marines d’où on le fout dehors pour indisciplines répétées.
Bref. Ca commence pas très bien pour Mc Queen.
C’est la moto qui le sauve. Il est passioné. Fanatique.
Il fait des courses off-roads et gagne sa vie comme ça.
Il se débrouille même très bien puisqu'il fait partie de l'équipe des USA
pour le championats du monde off-road en DDR
Avec l'argent qu'il gagne il peut s'acheter sa première moto: une Harley.
mais il n'aime pas. La moto pour lui, c'est Triumph et Indian.
Un jour à tout hasard il se présente au concours d'entrée dans une école de théatre.
Il y a 2000 candidats et on en prend deux. Il en fait partie.
Pas si mauvais acteur que ca sans doute...
La grande Escapade. C'est ce film qui le lance. Il y fait de la moto comme un fou.
Même les cascadeurs ne savent pas faire ce qu'il fait.
Moto et cinéma. Il continue les deux à fond.
Quand l'assurance du cinéma lui interdit de faire des courses, il en fait sous un faux-nom.
Incroyable mais vrai, il conduit aussi des voitures de course.
Il termine second au 12 Heures de Sebring en 1970, battu de justesse par Mario Andretti, champion du monde en F1.
Avec cette Porsche. Son coéquipier, Revson, lui aussi pilote de F1, se tuera en course quelques années plus tard.
Mais Mac Queen n'est pas seulement Bullit. Le vrai Mac Queen est celui des runs dans le désert.
ou bien des balades et nuits étoilées avec son chopper Indian.
Steve Mc Queen, possédait un collection de 100 motos anciennes qui ont été vendues au enchères ils y a quelques années.
En voici quelques unes .
À 50 ans un cancer est venu le prendre par la main et à répandu ses cendres dans le Pacifique.
Mais Steve Mc Queen restera comme un vrai de vrai. Un vrai Biker. Pas celui des chromes et des rassemblements frimeurs.
Mais celui qui sent l'huile, la boue et le cuir brûlé contre le carter.
Motard pur sucre. Admirable. Mais pas harley pour un sou. Désolé.